L’employé empêché de travailler pour cause de maladie non professionnelle doit en informer immédiatement son employeur, sauf cas de force majeure établi. Au-delà de 72 heures ouvrables, il/elle doit, en outre, justifier son état par un certificat médical. L’employeur se réserve le droit de le soumettre à un contrôle médical. En cas de maladie entraînant une incapacité provisoire de travailler, l’employeur assure l’indemnisation de l’employé(e) pendant la suspension du contrat dans la limite de 6 mois.
- Droit du travail de A à Z
 
Droit du travail de A à Z
Droit de travail
- Apprentissage
 - Avantages
 - Calcul des heures supplémentaires
 - Chômage technique
 - Clause de non concurrence
 - Congé de veuvage et pèlerinage
 - Congé maternité (articles L178-189)
 - Congés (familial), permissions
 - Congés : Fêtes de fin d’année
 - Congés de maladie
 - Congés payés ou congés annuels
 - Congés spéciaux
 - Congés, accident ou maladie non professionnelle
 - Congés, maladie ou accident de travail
 - Congés, permissions
 - Contrat d'intérim
 - Contrat de qualification ou de stage
 - Contrat de travail : Les cas de suspension légale
 - Contrat d’étranger
 - Contrat d’expatrié
 - Contrat d’Ouvrage
 - Débauchage abusif
 - Démission
 - Démission : Elle ne se présume pas
 - Discipline : obligations disciplinaires
 - Edition de bulletins